Il faut beaucoup de courage, en ce début de 21ème siècle, pour créer une Revue d’Homéopathie et surtout sans avoir un sponsor de renom international ou être soumis aux caprices d’une banque. Mais Alain Sarembaud et Bernard Poitevin ne manquent pas de courage. Ils l’ont prouvé depuis bien des années et ils le prouvent encore, chaque jour. Ils sont francs, têtus, honnêtes et ils connaissent l’Homéopathie sur le bout des doigts…cette Homéopathie qui a plus de 200 ans mais dont l’actualité ne cède à aucune attaque. Le premier est un « meneur », le second est un « scientifique humaniste » qui n’a jamais baissé la tête. Voilà de bien bonnes qualités pour diriger une nouvelle revue. Oui, cette Revue d’Homéopathie, dont le numéro 1 me semble de bien bon augure, doit intéresser notre monde médical…les médecins mais aussi les dentistes, les pharmaciens, les acupuncteurs, les vétérinaires…Nos patients apprécieront que nous avons décidé de faire parler de nous. Je l’ai dit, j’ai même essayé de le prouver, en organisant, en mars 2007, une Journée Nationale de l’Homéopathie. Je l’ai écrit des centaines de fois…nos patients, à deux ou à quatre pattes, sont nos meilleurs amis et méritent d’être avertis de tout ce que faisons de nouveau. Une bonne revue montre notre union. Alors nos patients pourront défiler dans les rues, dresser des barricades, et dire aux Pouvoirs Publics leur volonté de défendre leurs droits à leur Santé. Nous devons nous unir autour des structures qui ont fait leurs preuves. Il faut que les médecins et tous ceux qui pratiquent les médecines alternatives apprennent à communiquer. Aussi je souhaite longue vie à cette revue qui, déjà, nous honore. L’éditeur et ses deux piliers méritent bien un sourire…eux, qui savent que l’Homéopathie n’a pas dit son dernier mot. |
3 commentaires
bonjour, comment se procurer cette revue ?
merci.
Longue vie à cette nouvelle revue !
Jacqueline
Merci beaucoup,
Je suis ému en le lisant
Comme toi, nous essayons d’apporter une pierre
comme nos prédécesseurs et nos parents
l’ont fait, dans des circonstances beaucoup plus difficiles…
Affectueusement, Alain