Oui, nous étions tous effondrés vendredi soir et pourtant j’aurais aimé pouvoir vous rejoindre dans les vestiaires, vous embrasser et avec quelques mots vous redonner le goût de vaincre. Car vous vaincrez, si on cesse dans la presse, sur les écrans et même à la terrasse des cafés, de chercher les « pourquoi » et les « comment ». […]