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Avant riaient les mots à la chair des poèmes, Nos âmes s’égayaient dans les jeux de cristal. Pour élan, pour devoir, nous n’avions que nous-mêmes Et l’espoir s’élevait comme un astre fatal. Moi, j’avais le front ceint de rares diadèmes, Ainsi nous allions, sans fardeau ni limites, L’aube vertigineuse accourait, familière, Thierry Cabot a aimé mes poèmes. J’aime les siens et je crois bien de vous le dire. Pour vous Thierry, ce champ de coquelicots…là-bas dans un champ, en Israël, un petit pays au passé miraculeux. |
1 commentaire
Très beau poème et ce champ de coquelicots est magnifique.bisous .poussin